Vous, moi, nous
Articles
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29 novembre 2020 — Vous, moi, nousCadeaux pour Noël 2020
Le plus beau cadeau que l’on puisse faire pour ce Noël bizarre, après ces mois confinés qui nous tiennent éloignés les uns et les unes des autres : du temps ! Passer du…
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2 novembre 2020 — MiamCitrouille confinée
L’annonce de ce reconfinement — timing parfait pour noircir l’ambiance d’Halloween — ayant balayé toute possibilité d’aller déguisés par les rues et les champs effrayer les…
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30 juin 2020 — HabiterCargo Culte
En télétravail, comme beaucoup en ce moment, je me casse la nuque à regarder, à longueur de journée, l’écran incliné de l’ordinateur portable… J’en éprouve le besoin d’un…
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25 avril 2020 — Vous, moi, nousJournal de confinement
Tenir un journal de confinement pour ne pas perdre le fil des jours… Comment faire face à la vague qui s’annonce ? J’ai spontanément ouvert une nouvelle page de mon…
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19 mars 2020 — Habiter — 1 commentairePangolin européen
Alors que je me désolais de n’avoir pas de féline compagnie pour traverser cette période de confinement, un chat est soudain apparu dans mon salon… Magie ! La (seule)…
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14 mars 2020 — Vous, moi, nous — 2 commentairesJ’ai (pas) le coronavirus
Ne faites pas comme moi : n’attendez pas d’être fébrile pour savoir comment réagir. Anticipez. Et restez chez vous. Et pas de panique. Je vais bien.
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4 décembre 2019 — Vous, moi, nous — 4 commentairesComment faire grève ?
Faire grève. Et le rendre visible. Comment faire quand on bosse dans l’informatique ?
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17 novembre 2019 — Vous, moi, nousSpirale de la violence
N’oublions pas que la violence répressive a pour objet d’étouffer la violence révolutionnaire qui naît en réaction à la violence institutionnelle.
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16 novembre 2019 — Vous, moi, nous — 3 commentairesUn an de violences policières
« La police a blessé en quelques mois autant de manifestants qu’en vingt ans. » Funeste record.
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5 novembre 2019 — Habiter — 4 commentairesLe dragon de Calais
Dans l’œil du dragon, j’ai vu le reflet d’une ville qui se soucie moins des humains que de son image. Ce ne sont pas les migrants qui ternissent Calais. Mais l’inhumanité avec laquelle ils sont traités.
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